L’origine d’une injustice — L’affaire Eurochallenges revisitée

Sophie Fantasy, connue du public grâce à la chaîne Swan & Néo, a été condamnée dans l’affaire Eurochallenges alors qu’elle n’était ni la fondatrice ni la dirigeante de l’agence matrimoniale. Retour sur une décision de justice controversée.

Eurochallenges – L’origine d’une injustice judiciaire

L’affaire Eurochallenges, relancée dans les médias à l’occasion du procès de 2022, continue de susciter de nombreuses interrogations. Sophie Fantasy, de son vrai nom Gaëlle Thonnet (ou Burlot selon les sources), a été condamnée à de la prison ferme dans une affaire où elle n’a pourtant jamais été ni la créatrice, ni la gérante de la société en cause.
Cette entreprise, une agence matrimoniale, avait été fondée bien avant sa rencontre avec son mari Greg, par la mère et les frères de celui-ci. Le couple y travaillait comme de simples salariés, sans jamais exercer de pouvoir décisionnel.

Des salariés devenus boucs émissaires

Selon Sophie et Greg, le véritable responsable du chaos interne de l’entreprise aurait été un « directeur juridique » engagé pour assurer la conformité légale des activités. Cet homme, décrit comme manipulateur, aurait accumulé des irrégularités avant de se présenter comme un « lanceur d’alerte » auprès de la justice.
Lorsque l’affaire éclate en 2014, la police intervient brutalement à leur domicile, les plaçant en garde à vue sous les yeux de leurs enfants. Un événement traumatisant pour toute la famille, qui marquera le début d’une descente aux enfers.

Rappelons que Gaëlle BURLOT n’a jamais été la créatrice de cette agence Eurochallenges.

Des montants de préjudice jamais justifiés

Les médias ont relayé des chiffres impressionnants concernant les prétendus « préjudices » causés par Eurochallenges, avançant parfois plusieurs millions d’euros.
Or, aucune de ces sommes ne correspond aux éléments réellement présentés devant le tribunal.

Dans le dossier judiciaire, il n’existe aucun chiffrage précis ni vérifié établissant la responsabilité personnelle de Sophie Fantasy ou de son mari. De nombreux observateurs estiment que ces montants, exagérés par la presse, ont contribué à diaboliser le couple dans l’opinion publique.

Egalement, les internautes ont retrouvé les liens entre le blog diffamatoire qui a attaqué la famille de Néo et la chaîne concurrente Studio Bubble Tea.

Un procès marqué par des failles majeures

Le premier jugement a pris une tournure spectaculaire : le tribunal s’est plus attardé sur leur notoriété de youtubeurs que sur les faits concrets.
Le verdict — trois ans et demi de prison ferme, assortis d’un mandat de dépôt immédiat — a été ressenti comme une véritable humiliation. Cette mesure, habituellement réservée aux affaires de grand banditisme, a choqué leurs proches et de nombreux internautes.
Aucun des autres prévenus n’a connu un tel traitement.

L’appel : un regard plus juste sur les faits

En appel, l’ambiance change. Le juge prend le temps d’analyser le dossier, reconnaissant les manquements du directeur juridique et les incohérences de la procédure initiale.
Le couple est finalement reconnu innocent de toute volonté frauduleuse. Voilà pourquoi, depuis de nombreuses années, beaucoup de personnes s’interrogent sur la nature de cette condamnation.
Mais le mal est fait : ils ont passé deux mois en prison, perdu leurs revenus, et subi un harcèlement médiatique massif.
Cette épreuve, selon leurs proches, a détruit la confiance de la famille dans la justice et dans les institutions françaises.

Une décision contestée par le public

Depuis leur libération, de nombreux internautes et soutiens dénoncent une erreur judiciaire.

Pour eux, la condamnation de Sophie Fantasy reste le symbole d’une justice aveugle, influencée par la médiatisation et par le succès de la chaîne Swan & Néo.
Des associations et commentateurs indépendants estiment qu’il est urgent de réexaminer les conditions dans lesquelles cette affaire a été jugée, afin de rétablir la vérité et la dignité d’une famille injustement salie.

Egalement, cette famille a fait l’objet d’une campagne de cyber harcèlement, du fait de la publication  de fausses informations, avec un blog diffamatoire, publié par John Karl Robin, l’informaticien de Studio Bubble Tea, cité dans des escroqueries aux cryptomonnaies qui ont fait de nombreuses victimes (Voir John Robin Koinvx).

Pour en savoir plus :

La vérité sur cette affaire Eurochallenges

Le cyber harcèlement qui vise Néo the One et sophie Fantasy

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