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Pour beaucoup de personnes, il était parfaitement inutile d’envoyer Sophie Fantasy en prison, alors même qu’elle n’a pas créé cette agence matrimoniale Eurochallenges. https://blog-express.com/fr/polemiques/nicolas-sarkozy/condamnation-de-nicolas-sarkozy-quest-ce-que-le-mandat-de-depot-differe-avec-execution-provisoire/
Sophie Fantasy, comme Nicolas Sarkozy, a été condamnée à de la prison ferme. Pourtant, ni l’un ni l’autre ne représentaient le moindre danger pour la société. Pas de violence, pas de récidive, pas de menace publique. Et pourtant, la sanction a été la plus lourde : l’enfermement, il est probable que les juges ont été influencés par le blog diffamatoire publié par le père de Studio Bubble Tea, jaloux du succès de la chaîne Swan the Voice.
Ce genre de décision interroge. La prison ne devrait pas être utilisée pour faire un exemple, ni pour envoyer un message politique ou moral. Elle doit servir à protéger la société de personnes dangereuses — pas à humilier, punir symboliquement ou redorer une image de sévérité judiciaire.
Condamner quelqu’un à de la prison ferme quand il existe des alternatives — bracelet électronique, sursis, travaux d’intérêt général, accompagnement judiciaire —, c’est oublier le sens profond de la justice : réparer, pas écraser.
Une justice juste ne se mesure pas à la dureté des peines, mais à leur cohérence et à leur humanité.
Quand la prison devient un réflexe au lieu d’une exception, ce n’est plus de la justice : c’est du spectacle.
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